Veilles de la Toussaint: La coutume la plus intéressants de Skopelos est le déguisements. L'île semble avoir conservé vivante la tradition ancienne des ritues des dionysiaques, qui était tenue en l'honneur de Stafilos et Dionysos. Bien sûr, des très anciennes coutumes très peu survivent aujourd'hui et dans la plutart de celle-ci prenne part habituellement des enfants.

Contrairement à l'époque, la participation des grands aux événements carnavalesques était catholique. Les Skopelites qui était de Braila venaient a Skopelos pour célébrer la veille de Toussaint et pour se déguiser moutsounes (masque visage). Les deux premier dimanche du carnaval n'était pas quelque chose de spéciale. Ils avaient comme habitude de ont danser à la maison. Le troisième dimanche il est mentionné qu'il s'habillaient "kakes moutsoynes i koudounatoi". La coutume était célèbré dans le quartier de Panagia et la caractéristique principale était le blasphème et les plaisanteries obscènes, si bien que les femmes n'osaient passer par. L'avant-dernier Dimanche du carnaval étit la tradition du chalutier qui ses dernières années, fait revivre Skopelos. Le chalutier été un bateau de grande dimension fait de roseaux et de bois. À l'intérieur du chalutier se trouvait l'équipage du capitaine jusqu'au dernier matelo.

Tout le monde était déguisées et passaient dans toutes les parties de la ville et la où il y avait une place ils s'asseillaient et chantaient des chansons obscènes. Le dimanche de la Toussaint la fêtes atteignait l'apotéose avec la coutume du "kalon" (bons).

Traditions d'été: En Juin, la fête de Ai Gianniou de Rigana, se faisait a Klima, comme ailleurs, la coutume de Klidona. A la veille de la fête, le 23 Juin, on envoyait un enfant au robinet pour apporter l'eau sans voix, qui ensuite était vidé dans une propre, "ptidia", cruche couverte. Dans cette eau on mettait les bagues et d'autres bijoux des filles du village et le lendemain soir, le jour de Ai-Gianniou de Rigana, ouvrait le Klidonas, c'est a dire il découvrait la cruche avec a chanson.

Ils plongaient la main dans la cruche avec l'eau et le bijou qu'ils resortaient était de la chanceuse. Puis continuaient a dire d'autres versets pour chaque fille dont le bijou sortait de la cruche. D'abord ils disaient les bonne paroles et ensuite "pirpaska" et leur intentions. À la fin de ce processus, les filles remplissaient leur bouche d'eau de klidonas, qu'elles gardaient en bouche jusqu'à ce qu'elles entendent un nom. Le nom qu'elles auraient entendue serait le futur époux.

Egalement, à Klima la nuit du même jour la jeune fille qui voulait voir qui elle va épouser, regardait dans l'eau de Klidonas et voyait le visage de la personne qu'elle épousera. De plus, la veille d'Ai Gianniou, dans les quartiers, ils allumaient les fameux feux en brûlant des veilles branches, lequels servaient à taille le "Kamatero", c'est à dire des vers à soie. Plus tard ils brûlaient "klaris" ou d'autres branches. Au dessus de ses feux sautaient petits et grands "pour de bon". Ils disaient également, que pour que les pieds ne sentent pas mauvais ils fallaient les frottent avec les cendres de ce feux. Le jour de la fête d'Ai Gianniou ils avaient l'habitude de recueillir de l'origan, qu'ils utilisaient en cas de douleur. Enfin, le même jour ils mouillent leur tête avec l'eau de la mer pour le meilleur,et en souhaitant un bon été.

À la fin de Juin, les 29 -30 étaient les célébrations des Agii Apostoli, qui étaient couverts par la fête de l'été des patrons du village d'Agii Anargiri.

L'été se terminaient avec les fêtes de la Panagia et Ai Giannou. Mais cependant, ce qui domine à Klima les mois estivaux était la collecte de l'amande et de la prune.

Les amandes se rassemblaient par étapes, à la fin de Juillet jusqu à la fin du mois d'août, tandis que les prunes ils devaient les rattraper, surtout au début du mois d'août pour éviter quelles ne tombent. D'abord ramassaient les sucrées, de type azen et les exposaient au soleil, pour les cuire ensuite dans des spéciaux fourneaux. Aux mirabelles travaillaient de nombreux ouvriers et ouvrières, tant dans la collecte et aux fourneaux.

Les amandes étaient recueillies en même tant que les figues, blanche et noir, lesquelles étaient éxposées au soleil dans des liastres spéciale de culture, laquelle on avait marché avec les pieds, pour qu'elles resoivent cette forme plate. Pour les belles figues des anciens de Klimatiani au milieu du 19e siècle se réfère le minéralogiste allemand G. Fiedler.

Dans les activités estivales de Klimatiani était aussi les jardins, de petite parcelles auxquels ils plantaient plantaient des citrouilles, tomates, concombres, haricots, etc, pour l' usage domestique. Cependant, il y avait de grands jardins, les grands champs, comme celui du vieux Giourgoula à kosta et du vieux Giorgi Tsoukalas, à Rema. Bien sûr, ils apportaient de Chora de Skopelos de tels fruits certains agriculteurs il en existait beaucoup alors là. Enfin, dans les travaux majeures et imperatifs des anciens de Klimatiani au cours de ses moissons ils fallaient s'occuper aussi des oliveraies qui faisait des olives presque chaque année. Avec une manière très prudente, donc, ils nettoyaient les oliveraies des bosquets, d'herbes séchées, des buissons et d'arbustes qu'ils les rendaient telement propre, comme disaient les habitantsque locales, "lad (huile) tu jette, tu le mazosis (ramassera)". Les premier ramassage de la cueillette des olives se fait mi Septembre immédiatement a peine terminé la vendange.

Le 1er Septembre est une journée spéciale et les résidents les plus puritains n'acceptaient pas les visiteurs sur cette journée, alors que le premier pied a été membre de la famille. L'eau potable a été acheminée à l'intérieur et une cuirasse pour la bonne fortune.

Nouvel An: Décembre 31 est appelé Klidochronia. Jour de l'An s'ouvre avec un pied d'abord avec de l'eau propre et d'un minerai de fer pour une bonne santé et fortune toute l'année. L'eau douce est pulvérisé autour de la maison pour dissiper l'année précédente.

Le Saint Patron Riginos: Le 25 Février on célébre le Saint patron Riginos de Skopelos. Il a été évêque de l'île et a été martyrisé en 326 après JC sous Ioulianos Paravatis. Ce jour-là tous les habitants de Skopelos sont réunis au monastère de Saint-Riginos, situé 2 km au sud de la ville. La procession commence de l'Eglise du Christ, ou sont préserver les reliques sacrées du Saint. Sur le chemin ils chantent les louanges, qu' avait composé le siècle dernier, le savant Skopelite Ioannis Drakiotis, sur des hymnes connu de l'église. Le cortège arrive au monastère, la messe est célèbré, suivi par le discours. Ensuite, les saintes reliques sont transpoetées en ville. En retour, le cortège s'arrêta à Agios-Riginaki, le vieux pont, qui selon la tradition le Saint fut décapité. En ce jour toute la ville est déserte. Les plus âgés ont fait vœu d'aller au monastère de Agios-Riginos.